Ginger S. Dunn || The Life is not a game {Admin}

Altruiste ; Je n’utiliserais pas la définition complète d’altruiste car elle sera fausse dans mon cas. Pourquoi utiliser alors cet adjectif ? Tout simplement car je le suis mais a ma manière. Pour que je sois altruiste, il faut que la personne que j’aide fasse parti de mon cercle d’amis, ou que j’ai vraiment pitié d’elle. Je n’aide pas les inconnus ou très peu, mon métier m’a apprit a me méfier et une de mes devises est : « Un visage peut caché des choses, un corps peut caché des secrets et un inconnue peut cacher un monstre. » Ridicule mais vraie !
Consciencieuse ; Il ne m’est jamais arrivée de bâcler quelque chose que j’ai envie de faire. Je remplis mes obligations, en me plaignant quelque fois mais je le fais. Je n’apprécie pas le faite qu’on bâcle quelque chose, et je ne me gêne pas pour le dire.
Courageuse ; J’ai été courageuse quand j’ai regardé l’homme que j’aimais dans un de ses derniers souffles. Je l’ai tué de sang froid car je suis rancunière. Pourquoi devait-il de rester en vie, alors qu’il m’avait laissé pour morte dans une forêt, il aurait pu faire la même chose à d’autre femme. Je peux dire ce que je pense a des mecs baraquée faisant 3 fois ma taille.
Curieuse ; Comme toutes les femmes... Rien n’est pire que la curiosité, croyez moi. Ce trait de caractère peut m’empêcher de dormir, et dieu sait que je ne dors déjà pas beaucoup. Il met déjà arrivé de passer mes nuits assise sur le rebord intérieur de la fenêtre avec une paire de jumelle et a épié mes voisins.
Drôle ; J’ai un humour qui n’appartient qu’a moi. Je me fais rire toute seule, ce qui fais rire les autres. Je placerais mon humeur plutôt du côté de l’ironie. J’aime faire rire mes proches, pour leurs redonnée le sourire, ou pour sortir d’une situation difficile.
Impatiente ; Ne me faites jamais attendre, je peux être une vraie peste quand je m’y mets et me faire attendre est le meilleur moyen. Ma vie est remplit de A à Z, je n’ai pas envie de passer mon temps a attendre. La vie est courte, n’attendons plus !
Instable ; J’aime pas dire que je suis instable mais bon mon psychologue m’a désigné ainsi. Je le suis car, mon humeur peut changer d’une seconde à l’autre ce qui déstabilise les autres. Mais ce n’est pas tout, je suis aussi instable socialement, d’une parole a une autre je peux détesté la personne et avoir envie de la tuer alors que le lendemain je peux plus me passer d’elle. C’est assez dure pour moi encore plus pour les autres.
Observatrice ; Formation professionnel. On m’a apprise à l’être, sans quoi je ne serais pas la femme que je suis. Je me mets souvent à l’écart au début pour bien observer et ensuite je peux rentrée dans le monde qui s’ouvre a moi. Ainsi, je trouve les points faibles de mes camarades pour mieux les descendres quand il le cherche.
Rancunière ; Enormément, je n’oublie jamais un mauvais coups. Le meilleur dans ce défaut, c’est la vengeance. Rien ne sert d’être rancunière si ce n’est pas pour se venger. La seule façon pour pas que je me venge c’est de me demander pardon et ce n’est pas dit que j’accepte les excuses.
Sadique ; J’utiliserais ce mot ambigu surtout dans la forme, voir souffrir. J’aime voir souffrir les méchants dans l’histoire ou les bons, sa dépend qui me tape sur le système. J’adore mettre mon petit grain de sel afin de rendre la souffrance encore plus difficile. Appelé moi Cruella
Sarcastique ; Rien n’est mieux qu’utiliser des sarcasmes pour faire comprendre son point de vue. J’utilise aussi mes phrases fracassantes pour me foutre de la gueule des gens. Voir les visages quand ils comprennent que c’est de l’ironie me fait plier en quatre.

Je vois le jour à Waterford en Irlande. Ma mère voulait me nommer Ginger, un prénom d’origine Latine qui signifie pure, vierge, tout mon contraire. Quant a mon père, voulant avoir un garçon, il voulait m’appeler Spencer. Ma mère m’ayant déclarer a la mairie, m’a nommé Ginger Spencer Dunn. Tous le monde était ainsi heureux. La vie a Waterford était parfaite, on formait une petite famille heureuse sans trop de problème. Mon père travaillait au port et ma mère tenait une boutique de vêtement sur la grande avenue. Je ne manquais ainsi de rien. J’avais des amis à Waterford. J’étais une enfant pleine de vie. Puis à mes 7 ans, le nuage blanc dans le ciel bleu se dissipa sous mes pieds, me laissant tombé en tête à tête avec le monde réel, celui qui m’effrayait tant... Je ne pus jamais me fondre dans la ‘masse’, chaque rentrée dans une nouvelle classe était une épreuve difficile, je savais que ma place n’était pas dans ce monde. Je n’existait pas pour les autres, existaient-ils donc pour moi ? Je n’en sais rien, encore maintenant, j’ai fais un trait et j’ai délibérément oublié cette partie de mon enfance, celle où la cruauté enfantine se réveille. Je ne ressemblais en rien a ma chère mère, ni a mon père. Mes 7 premières années fut simple, tel une vie lambda, sans aucune importance. La routine c’était vite installé dans ma petite famille, et je n’aurais jamais penser que celle-ci allait me manquer. Comme tous les soirs, après l’école, je m’éclipsais dans ma chambre afin de réviser. J’étais partie pour prendre ma douche quand , soudain, j’entendis des cris, des cris effrayants. Je me retrouva vite assise aux deuxième étages serrant les barreaux de la balustrade dans mes mains et regardant mes parents s‘engueuler. C’était un peu qui criait le plus fort, il avait complètement oublié ma présence. Quelque fois sa m’aurait plu, tel la fois où j’avais cassé le vase en porcelaine de mon arrière grand-mère ou quand j’avais cassé la baie vitrée avec le ballon en cuir mais pas cette fois, j’aurais voulut qu’il me voie pour arrêter. Cette dispute n’était as comme les autres, aux sons de leurs voix, a leurs tonalité, aux gestes, je savais que quelque chose venait de se casser qui n’était pas réparable. Ce soir là, je m’enferma dans ma chambre, de la musique a fond pour ne rien entendre. A 3h45 du matin, ma mère me réveilla, ses joues étaient gonflés et ses yeux rouges. Elle mit sa main devant ma bouche et m’expliqua qu’on devait partir sans faire de bruit. Quand je descendit les escaliers, je vu mes valises près de la porte d’entrée. Pendant que ma mère alla chercher les deux dernière valises, j’inspecta les lieux, on aurait dit qu’une tempête avait retournée la maison de fond en comble. J’arriva près de la table basse, attrapa le cadre, j’eus seulement le temps de bien le remettre que ma mère m’attrapa par le bras. Je ne sais pas pourquoi, je m’accrocha aux murs pour ne pas partir, mais elle était trop forte, je céda vite, sans doute que je m’étais accroché a un simple cadre photo qui était bien sur pas accroché aux meubles. Elle me poussa dans la voiture, je fus surprise d’identifier mon oreiller et ma couverture sur la banquette arrière comme un lit. Elle me donna un verre dos et 20 minutes après je dormais allongé sur la banquette. Je du me réveiller longtemps après, car le soleil me fit mal aux yeux et que dehors le paysage ne ressemblait en rien a celui de Waterford. Après avoir regardé, toujours allongé le paysage qui passait par la fenêtre ,les souvenirs de la veille me revint en mémoire, et je me leva en sursaut. Pendant deux ans ,moi et ma mère vivions chez ma grand-mère. Elle refusait de parler de mon père. A mes 10 ans, mon père nous retrouva. Après avoir porter plainte contre ma mère pour enlèvement, il demanda le divorce. Ma mère accusa mon père de l’avoir frapper et je ne sais comment, elle eu la garde exclusif. Pour empêcher mon père de me voir, elle m’emmena a New-York chez ma tante. Ce fut le moment le plus terrible de ma vie. J’étais nouvelle, bizarre, avec un drôle d’accent et en plus je n’avais rien pour moi. Je n’avais pourtant pas a me plaindre, car j’étais juste mise a l’écart et donc je n’étais pas un souffre douleur. De plus j’aimais, être mise à l’écart, je pouvais lire des livres, étudier. Ma mère, se remaria à mes 20 ans. Le problème, quelque jour plus tôt, j’avais rencontrer, un homme certes d’âge mure mais il m’avait assez tapé dans l’œil. On coucha ensemble, et lors du mariage a ma mère, je le revis. Il était habillé dans un costard griffé et se tenait en haut de l’hôtel, il était le futur mari de ma mère. Quand il me vit, il sourit mais moi, je me cacha derrière le bouquet de fleur de la demoiselle d’honneur. Ma mère déménagea chez lui, et m’amena. Le goût d’argent et de pouvoir, l’avait complètement changer. Elle avait jeté ses vieux jeans et ses pulls pour des tailleurs Chanel et des sacs Gucci. J’évitais mon beau père, le plus possible j’étais mal a l’aise, et encore plus quand il m’expliqua que c’était intéressant de se rapprocher. Je n’étais pas bête, je savais qu’il voulait plutôt dire ; ‘ C’est cool de se taper la mère et la fille.’ A cause de mes refus, il avoua à ma mère qu’il l’avait trompé avant le mariage. Il lui dit, qu’il était triste, il venait d’apprendre que sa mère avait une grave maladie et qu’il avait couché avec une fille après avoir trop but. Ma mère pouvait être si naïve quelque fois, sa me dégouttais. Puis comme-ci sa ne suffisait pas, il lui dit qu’après le mariage, il revit la jeune femme qui le dragua. Ce qui était complètement faux. Quand j’entendis ; ‘ Cette femme, c’est ta fille’, je me retourna complètement choqué. Mais avant de faire quoi que ce soit, ma mère me gifla et me jeta dans la rue, devant les voisins. J’étais déboussolé, hors de moi, je ne pouvais stopper les larmes et je suppliais ma mère d’arrêter. Quand je leva ma tête vers elle, je vus la haine dans ses yeux, elle partit puis je le vu. Il était content de lui, s’agroupit devant moi, et me dit, tout simplement ; ‘ Je te propose à nouveau mon offre, tu me cède et je peux convaincre ta mère de te pardonner’. Avec le peu de force qu’il me restait, je réussis a le gifler, attrapa quelques affaires et vagabonda dans New-York de nuit. Je devais complètement le traverser pour retrouver le seul ami que j’avais. Sa mère, m’accueille les bras ouvert sans me demander ce qu’il venait de sa passer, ce que j’apprécia. Pendant un ans, je vécus a leurs crochets, cherchant un moyen facile pour avoir de l’argent. Sa tante vint nous rendre visite, elle était enceinte et nous expliqua, qu’elle était devenue mère porteuse pour un couple riche.
Après plusieurs recherches, je trouva un couple très riche à Panama. Je partie avec plaisir de New-York. Aujourd’hui, je suis enceinte de 2 mois, ils me donnent tous ce que je veux. J’ai un appartement, une carte de crédit illimité... Je dois juste mener a bien cette grossesse et ensuite m’évaporer dans la nature avec l’argent.