| | | La seconde fois {{ Pv..Ben |  |
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Ginger S. Dunn
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| | Sujet: La seconde fois {{ Pv..Ben Lun 17 Aoû - 22:38 | |
| Être enceinte, était pour certaine femme, un heureux événement, 9 mois de bonheur extrême. Pour d’autre c’était le début de l’enfer, une bêtise avec une conséquence énorme. Ginger était entre les deux, elle aimait quelque peu voir son ventre s’arrondir, et puis sa avait plein d’avantage, pour avoir une place assise dans les transport, elle sortait le ventre, il y avait toujours un bon citoyen pour lui laisser sa place. Il y avait le mauvais côté, les nausées matinale, les vêtements trop petits, les hommes qui partent en la voyant. L’avantage, c’est qu’elle allait avoir que le bon côté, ce n’était pas elle qui allait devoir éduquer le mioche, pas elle qui allait changer ses couches. Et puis, elle a la chance de pouvoir tomber enceinte, pourquoi ne pas faire en profiter d’autre femme ? Pourtant, après cette expérience assez enrichissante, elle ne souhaiter pas recommencer, espérant avoir assez d’argent pour ouvrir une boutique de vêtement en Irlande ou quelque part d’autre loin de New-York.
Aujourd’hui, c’était un jour comme les autres, elle c’était réveiller vers les 9h-10h. Le silence de l’appartement vide l’oppressait, elle était encore fatigué mais impossible de se rendormir. Elle avait traîné difficilement ses pieds jusqu’à la cuisine, se trompant de porte une ou deux fois, l’appartement était grand, elle ne c’était pas encore habitué. Passé d’un F4 au dernier étage dans le Queens a un appartement de 200 mètres carré ici, il y avait de quoi se perdre. Après avoir préparer son chocolat, Ginger était une grande enfant, elle n’aimait pas vraiment le goût du café, elle s’installa sur une petit banquette dans le renfoncement de sa fenêtre. Comme chaque matin, elle regardait ses voisins, les patents. C’était mieux que la télévision, ne croyez pas qu’elle détestait cette objet symbole de la technologie, mais quelque fois les émissions stupides vous tape sur les nerfs. Quand elle leva la tête pour la première fois, l’horloge sur le mur indiquait 10h30. Elle devait accélérer le pas pour ne pas être en retard. En passant, elle déposa sa tasse sur la table de la cuisine et prit le direction de la salle de bain. Ginger en ressortit toute propre, avec un peignoir rose sur le dos. Elle avait même son propre dressing, normalement ses affaires étaient entassé dans une commode, qu’elle devait partagé avec un ami et le reste, traînait dans des cartons. Elle essaya deux jean, tous devenus trop petits, un calvaire de s’habiller. Certain vêtement lui était inconnue, des cadeaux de la futur famille du colis qu’elle portait. Après le troisième essaie de jean, elle en trouva enfin un qui acceptait de se fermer. Pour le haut, c’ était plus facile, elle attrapa un bout de tissus rouge, assez large pour ne pas dévoiler aux premiers regards son petit ventre arrondie mais pas assez pour qu’elle nage à l’intérieur. Elle attrapa son nouveau portable. Il y a peu, elle c’était fait voler son portable mais avec une carte de crédit illimité prêté par la riche futur famille du bébé, elle pouvait faire tout ce qu’elle souhaitait. Normalement, elle aurait travailler pendant 2 mois pour s’acheter un portable, et je parle d’un portable situé en bas de la chaîne technologique. Elle ajusta ses bretelles et sortit de son appartement, ses clefs et son portable dans son sac à main. Elle connaissait le chemin pour aller au commissariat par cœur pour y être allée une fois. Ginger est ainsi, ne se rappelant pas de l’emplacement des pièces de son appartement où elle vit tout les jours mais connaissant le chemin pour aller au commissariat. Sa mémoire était sélective et le l’emplacement des pièces n’étaient guère importantes. Il ne faisait pas froid dehors, même assez chaud. Sa faisait un moment, qu’elle n’avait pas connu de tel chaleur qui n’était pas mauvaise. Après une demie heure de marche, cherchant les coins d’ombres , esquivant les patents, et s’arrêtant pour s’hydrater quelque fois. Panamá city était une ville offrant plein de ressources, il y avait toujours un coin d’ombre aux coins d’une rue, un musicien placé a un endroit décisif, de la végétation pour ne pas oublié la jungle d’à côté. Et puis il y avait toujours les cris d’une mère sur son enfant, un touriste lourd qui vous matte de la tête aux pied et qui vous siffle et un habitant malveillant essayant de vous arnaquer sur ‘ l’affaire du siècle’. Un peu comme toute les villes touristiques. Ginger voyait toujours le bien puis le mal, c’était ainsi, sa nature ne pouvait pas être changé. La brunette avait apprit à faire avec, on ne pouvait pas retirer les enfants de la mère, crever les yeux du touriste voyeur et noyé l’habitant escroc. Il ne fallait juste pas s’y arrêter, continuer sa route.
Elle arriva devant un établissement familier, le commissariat. Elle poussa la grande porte, après s’être annoncé à l’accueil on l’invita a aller dans la salle d’attente, qui a sa plus grande surprise était déjà pleine a craquer. Dans c’est moment, elle était contente d’avoir fait ce choix. Elle posa sa main droite sur sa hanche et s’étira, avant de poser cette même main sur le ventre, faisant le tour de celui-ci pour faire comprendre a ses camarades, qu’elle avait le droit à une place assise. Aucun des jeunes du groupes occupant le coin de gauche se leva, pourtant il l’a regardait, et puis d’autre n’avait même pas remarquer sa présence. Elle dû attendre qu’une personne fut appeler pour prendre sa place. Elle se serait bien passé de ce manque de générosité. Cette petite pièce manquait cruellement de couleur à part quelques affiches d’interdictions et d’autre ventant le fait de ne pas prendre le volant avoir bu, rien ne décorait les murs. Son sac, ressemblait a celui de Merlin l’enchanteur, des choses inutiles se trouvait dedans, tel un baton de colle, une paire de ciseau... Elle en sortit un livre, le meilleur moyen de passé le temps.
Quand elle leva la tête, on prononça son nom. | |
| | | | Benjamin A. Keller
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| | Sujet: Re: La seconde fois {{ Pv..Ben Mar 18 Aoû - 16:07 | |
| Ce matin là, la malchance m’était tombée dessus comme un enfant tombe de son petit vélo, de façon totalement hasardeuse. D’abord, mon vieux réveil sonna trente minutes avant l’heure programmée la veille, bougonnant et grinchant, je n’avais bougé que pour éteindre le dit réveil avant de me rendormir, changeant juste de position pour retrouver une Morphée impatiente de me retrouver dans ses bras. Fatigué par son expérience de la veille, une fête à laquelle mon frère et moi étions allés pour partir quatre heures plus tard, minuit largement dépassé, et une gueule de bois certainement annoncée au réveil. Avec seulement cinq heures de sommeil, dont une passée à naviguer entre la chambre et les toilettes, la journée allait être longue –très longue…-, à espérer que les meurtriers et les voleurs de Panama compatiraient à la douleur de l’inspecteur. Une douleur dont j’étais moi seul responsable, certes. Si Kyle et moi exercions fièrement et avec passion notre profession, nous en restions deux bons vivants et deux hommes à la recherche de présence féminine, rien que le temps d’une soirée.
Les ennuis continuèrent lorsqu’après quelques minutes de sommeil en plus, j’ouvris les yeux, prêt à enchainer huit heures de service avec une horrible gueule de bois, seulement, ombre dans le tableau, trente minutes cette fois-ci en plus que l’heure prévue au réveil. Ainsi retardé par un fichu réveil que je me promettais de changer dès que possible, je tirais le fin drap qui me servait de seule couverture et je quittais le lit. La malchance frappa de nouveau lorsque mes pieds se mêlèrent l’un à l’autre, provoquant une chute instantanée et brutale. Tombant la tête la première, mon seul réflexe fut de mettre mes mains devant moi, histoire de limiter la casse. Le choc eut lieu, et toujours dans un excès de malchance une vive douleur s’empara de mon poignet droit, mauvaise réception. Je jurais, employant bien plus que des noms d’oiseaux, que je trouvais trop faibles pour exprimer mon état mental ce matin. Je me relevais, tenant mon poignet endolori avec ma seule main encore libre. Je pris la direction de la salle de bain, une bonne douche réussirait sûrement à me détendre, en espérant…
Ayant déjà dix minutes de retard, je décidais de prendre un maigre petit déjeuner au commissariat, heureusement pour moi, la cafétéria offrait de bonnes pâtisseries. Par chance, première fois depuis mon réveil, la route jusqu’au commissariat était déserte, m’offrant la possibilité d’accélérer légèrement plus vite que ne l’autorisait la loi… J’arrivais enfin à mon travail, je garais la voiture sur le parking destiné aux employés et pris la direction de l’entrée principale. A peine mis je un pied dans l’enceinte que mon boss me tomba dessus, l’air furibond et une veine en dessous trépidante sous sa colère, cela n’annonçait rien de bon.
J’eus le droit aux remontrances de mon patron, me menaçant d’une castration douloureuse et lente à mon prochain retard. Je lui promettais, légèrement effrayé, de changer de réveil… Il partit, je secouais la tête, encore dépité par la menace. La réceptionniste de l’accueil m’appela, m’annonçant qu’une jeune femme prénommée Ginger Dunn était arrivée. Je repris constance et la remercia d’un geste de la main avant de me diriger vers la salle d’attente.
« Mademoiselle Dunn. » M’écriais-je dans la salle.
Je me rappelais de la demoiselle, nous nous rencontrions la semaine dernière au commissariat. Non, elle n’était pas l’une de ces criminels au ventre arrondi après un oubli de parcours, mais une agressée, quoi que agressée est certainement un bien grand mot. A dire vrai, Ginger s’était fait voler son portable et comme tout bon citoyen dans son devoir, elle était venue déposer plainte. Même si l’assurance allait lui rembourser cet objet volé, le voleur, lui, courrait toujours. Je lui adressais un sourire, voulant attendre d’être plus au calme pour pouvoir entamer une conversation. D’un geste de la main je lui indiquais la direction de mon bureau, je la laissais passer devant avant de lui emboiter le pas.
« Y’a plus qu’à tourner à droite et on y est. » Lui signifiais-je.
Nous entrâmes dans mon bureau, je refermais la porte et lui proposa de prendre l’un des deux sièges situées derrière ma table de bureau. Ceci fait, j’allais à mon tour m’asseoir à ma place. J’ouvrais le dossier consacré à l’affaire, le parcourais rapidement pour en connaitre d’avance les moindres détails puis le refermait. Je continuais de lui sourire, la trouvant, en plus d’être divinement belle, bien gentille. Je posai le dossier à plat sur la surface lisse de la table avant de croiser mes mains dessus, la fixant.
« Comment allez-vous ce matin ? » Demandais-je intéressé.
Oui, je préférais au sérieux et à la bougonnerie la politesse et la bonne humeur.
Dernière édition par Benjamin A. Keller le Mer 19 Aoû - 11:51, édité 1 fois | |
| | | | Ginger S. Dunn
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| | Sujet: Re: La seconde fois {{ Pv..Ben Mar 18 Aoû - 19:39 | |
| Un magasin de vêtement ! Oui, un magasin de vêtement pour les fêtes. C’est ce que j’aimerais posséder après avoir reçut la somme promise à la fin de ce dur labeur. Il fallait juste trouvé un emplacement digne d’attirer le regard des habitants, et puis pour le reste, une bonne décoration ferais l’affaire. Je m’y voyais déjà, avec 2 employés, à vendre des vêtements passant du mariage, au bal de promo par les fêtes déguisés et les cocktails. Je chercherais sans doute une grande ville, et pour faire de la pub, rien que mieux qu’un site web.
Ginger savait combien il était dur de trouver de belles robes pour certaines occasions et a un prix raisonnable. Elle connaissait que trop bien les heures de calvaire, les pieds qui gonflent, la tête prête à exploser pour trouver une tenue qu’on portera qu’une seule fois. Elle c’était arrêter entre deux pages, réfléchissant a son avenir à la fois sûre mais complètement incertain. Cette antithèse pouvait définir un mal être, son avenir était sûre, car elle allait avoir une énorme somme d’argent mais a la fois incertain car ses plans pouvaient changer à la dernière minute. Elle était désappointé, frustrée, elle ferma son livre et le rangea dans son sac, qu’elle fit glisser entre ses jambes pour ne pas l’oublier. Gingin était une femme étourdit quelque fois, surtout quand quelque chose n’allait pas, après s’être fait voler son portable, il ne manquait plus qu’oublier son sac à main. Elle frotta les paumes de ses mains sur son jean cherchant à oublier ses pensées néfastes.
La jeune femme gigota sur sa chaise, peu confortable, ce n’était qu’une salle d’attente d’un commissariat bondé manquant cruellement de moyen. Après s’être plainte intérieurement, elle remarqua les gens, debout, attendant d’entendre leurs noms ou qu’une place se libère, elle était heureuse d’être assise, et comme un gosse après s’être fait engueuler par sa mère, elle arrêta de bouger et baissa la tête. Alors que d’autre personne perdait patience, Ginger était heureuse d’être ici ; traîner dans son appartement, c’était ennuyant, traîner dans la rue, c’était fatiguant, et s’incruster chez les Marshall à cette heure-ci relevait de l’impolitesse. Ca ne gênerait sans doute pas Wayne, c’était même sûre, il allait être heureux de voir la femme qui va lui donner un enfant, mais du côté d’Erin, tout n’était pas si rose, et Ginger ne voulait pas gâcher le peu de relation positive en s’incrustant au déjeuner. D’ailleurs il fallait qu’elle commence a réfléchir où allait-elle manger ce midi mais surtout quoi, ce qui allait l’occuper le reste de son attente. Manger seule dans un restaurant, pouvait vite avoir des effets néfastes sur notre petite Ginger, voir les couples et les familles alors qu’elle se trouvait seule à manger. La meilleure solution, c’était de manger en tête à tête avec son poison rouge, un plat de pâtes avec en fond le son de la télévision. Même si elle n’avait pas très faim, elle était obligée de manger pour le petit être qui poussait à l’intérieur mais elle pensait surtout à éviter les foudres d’Erin. Personne ne connaissait de quoi était capable une femme d’affaire pour le bien de son enfant, mais connaissant Erin, elle aurait pu séquestrer Ginger, l’attacher a une chaise et lui faire manger de force un plat plein de vitamine et d’autres choses bons pour la grossesse.
Melle Dunn entendit son prénom mais ne le réalisa pas de suite. Après 10 secondes d’attentes, elle leva la tête et reconnu l’homme qui c’était occupé d’elle la première fois. Elle se leva et attrapa son sac. Un sourire en guise de bonjour, elle suivit ses instructions pour arriver au bureau de l’officier. Après l’invitation polie de l’inspecteur, elle prit place sur le siège de droite, posant son sac à terre, elle croisa les jambes. Son ventre ne lui empêchait pas encore de croiser ses jambes, elle en profitait. La brunette fit tourner son pendentif entre son pouce et son index. Attendant qu’on lui parle, elle posa son regard sur l’officier en face d’elle. Si tous étaient ainsi, elle serait venu plus souvent au commissariat. Ca changeait du stéréotype de l’officier grincheux soit gros soit vieux manquant de tact. Quand l’inspecteur Keller releva la tête, elle posa ses deux mains sur ses cuisses. Elle ouvrit pour la première fois la bouche depuis ce matin, pour répondre à l’aimable M. Keller.
« Ca peut aller, il y a eu des jours meilleurs et d’autres pires. »
Se réveiller, seule dans un immense appartement donner un coup sur le morale. Elle attendait juste la suite, pour enfin dire qu’elle allait bien voir très bien. | |
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